À la française : les médias érotiques

Quelle que soit leur distance temporelle ou culturelle avec nous, tous les livres, pièces de théâtre et poèmes français ont trouvé leur place au cinéma à un moment ou à un autre.

François Truffaut porte avec brio le conte de Madame Bovary sur grand écran dans une adaptation exaltante. D’autres films incluent Jean de Florette – sur un homme autiste qui se bat pour garder sa propriété, et All the Light We Cannot See, qui plonge les spectateurs dans la Première Guerre mondiale en France.

Les écrivains français ont toujours fait preuve d’audace lorsqu’ils utilisent un langage à caractère sexuel dans leurs écrits, ce qui n’est pas surprenant étant donné l’histoire de la censure littéraire en France et sa longue tradition d’idées provocatrices. Ces facteurs ont rendu le sol français particulièrement fertile pour la lutte des défenseurs de la liberté académique – des poursuites ont même été engagées contre des romans comme Les Fleurs du Mal de Baudelaire et Madame Bovary de Flaubert.

Pourtant, ces poursuites ont eu peu d’effet durable sur les mouvements littéraires libertaires comme ceux défendant les libertés littéraires comme Les Fleurs Du Mal ou Madame Bovary mais sans grand impact sur les mouvements de défenseurs des libertés académiques dans la littérature.

Mais le XXe siècle marque un tournant dans ce combat

Un développement critique a été la création d’une faille non écrite dans la loi anglaise qui permettait aux éditeurs de contourner les lois sur l’obscénité lors de l’impression de livres en anglais. Cela a ouvert les vannes d’une littérature scandaleuse comme celle écrite par le recueil de nouvelles Delta de Vénus d’Emmanuelle Arsan Anais Nin ou le Tropique du Cancer d’Henry Miller.

Jack Kahane était l’un de ces pionniers, en tant qu’éditeur de Lady Chatterley’s Lover et d’autres ouvrages érotiques publiés dans les années 1930 en anglais sans être soumis aux lois françaises sur l’obscénité qui lui imposaient des restrictions, ce qui lui permettait de poursuivre ses efforts de publication.
Ce changement dans le pouvoir de l’édition a conduit à la liberté littéraire ; auparavant, les auteurs étaient limités par la censure, même ceux qui écrivent de la littérature sévère.

Depuis lors, la littérature française s’est élargie à plusieurs genres, remettant en question les notions conventionnelles sur le matériel de lecture acceptable. De l’écriture de romans torrides sur de jeunes expatriés à Bangkok à l’écriture de films controversés comme Cinquante Nuances de Grey, la France s’est révélée experte dans l’écriture de fictions érotiques.

Mais les histoires érotiques françaises vont au-delà des simples romans et films ; ceux qui connaissent le nouveau livre d’Alan Shatter, ancien ministre de la Justice du Fine Gael TD, sauront que c’est plus que cela ; souvent, ces romans sexy inspirent l’activisme politique.

Aucune nation ne peut rivaliser avec la France en ce qui concerne sa longue histoire de littérature érotique

Des « Dialogues de putes » de Denis Diderot à l’édition Ulysse to Pads de Joyce, les écrivains français ont bousculé les tabous sur la sexualité avec des œuvres audacieuses et innovantes. Les années 1960 ont été témoins d’une révolution dans les attitudes sexuelles, les gens étant désillusionnés par les valeurs traditionnelles, telles que les notions bibliques selon lesquelles les hommes et les femmes doivent devenir féconds par la procréation et se multiplier.

Ce mouvement a conduit à une explosion de romans, de films et de textes culturels sexuellement libérés accueillis par les féministes, les libérateurs sexuels et d’autres activités sociales libérales. En outre, l’alphabétisation mondiale a augmenté tandis que la pratique religieuse a diminué de manière significative, produisant une société de plus en plus laïque avec de nouvelles opportunités de liberté d’expression et d’expression.

Le porno français et les textes érotiques ne visent pas simplement la stimulation sexuelle. Leurs objectifs sont plus profonds. Leurs écrivains et scénaristes visent à remettre en question la pensée et les normes conventionnelles. Contrairement aux moralistes auxquels ils s’opposent, ces écrivains ne cherchent pas seulement à défendre des valeurs mais aussi à les changer.

Ces rédacteurs ont compris que réinventer la sexualité agréable n’était pas seulement un acte d’érotisme mais aussi un outil pour contrer l’héritage brutal du colonialisme occidental. Miano suggère que les écrivains noirs ne pourraient pas pleinement s’approprier et exprimer leur sexualité sans d’abord se confronter à cet héritage : ce qu’elle appelle un « contournement stratégique du problème ».

Les cinéastes suédois Ingmar Bergman et Vilgot Sjoman ont apporté une contribution significative à la révolution sexuelle à travers des films à thème sexuel qui remettaient en question les normes traditionnelles de décence. Par exemple, Hon dansade en sommer (She Danced One Summer) de 1951 présentait une nudité explicite ;

Tystnaden (« Le Silence ») de 1963 se concentrait sur l’homosexualité

Les cinéastes et écrivains néerlandais ont contribué de manière significative à cette ère de liberté sexuelle avec des magazines comme Vriendschap (« Amitié ») et Dialoog (1965-1967). Les deux magazines présentaient du contenu sexuel tout en mettant l’accent sur le féminisme et l’amour comme moyens d’intégration sociale, comme en témoignent leurs comités de rédaction, souvent composés d’écrivains eux-mêmes.

La littérature française a toujours été une source influente pour le cinéma. Quelques exemples emblématiques incluent Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas (Alexandre Dumas), Madame Bovary de Flaubert/Chabrol et Les Misérables (Hugo/Lumière/Diderot). De nombreux romans classiques de la littérature française sont fréquemment adaptés en films qui explorent les thèmes du pouvoir, de la passion et de la créativité. Ce cours examine comment ces œuvres littéraires sont représentées à l’écran dans divers environnements culturels et industriels.

Les œuvres littéraires françaises constituent une riche source de matériel pouvant être utilisé pour réaliser des films érotiques. Certaines adaptations de romans ou d’expériences personnelles ont inspiré ces films, racontant souvent des thèmes tels que l’éveil sexuel d’une jeune française en Indochine, l’histoire d’amour entre un homme riche et un amant chinois, ou encore la tragédie de la bataille de Dien Bien Phu. Ces films ont laissé une marque indélébile sur la fiction érotique contemporaine en tant qu’influence.

Si nombre des plus grands écrivains français ont écrit de nombreux chefs-d’œuvre, d’autres restent moins connus. Blaise Cendrars se démarque ; ses écrits de voyages d’aventure couvrent plusieurs régions du globe et prennent souvent un ton amusant tout en explorant la souffrance humaine associée à la guerre et à ses conséquences. Ses œuvres se concentrent à la fois sur des thèmes qui attirent les lecteurs et sur la tentative de surmonter les traumatismes du passé et de les surmonter de front.

Les romans érotiques français remontent souvent au passé

Certains même pendant la Révolution française. Ces contes témoignent d’une profonde compréhension de la riche histoire et de la culture française tout en examinant les relations dans la société d’aujourd’hui avec des mots d’esprit que peu d’autres auteurs peuvent égaler.

Ces livres sont parfaits pour les lecteurs qui apprécient le côté sensuel de la littérature française, comme L’Amant, qui raconte l’éveil sexuel d’une jeune française ; d’autres romans populaires incluent Toute la lumière que nous ne pouvons pas voir, qui met en scène une jeune Française aveugle et son amant allemand dans Saint-Malo déchiré par la Seconde Guerre mondiale ; ces romans sont non seulement sexy, mais ce sont aussi des œuvres émouvantes et belles.

Dreamers est plus un thriller érotique qu’un drame pur et simple

Pourtant, il réussit toujours à fournir un récit engageant grâce à son écriture forte. Même lorsque les choses peuvent ralentir, Dreamers maintient toujours son élan jusqu’à sa conclusion.

Même si son intrigue peut paraître un peu tirée par les cheveux, ce film présente certains des personnages et performances les plus mémorables du cinéma français. Le réalisateur Michel Marnier fait un travail incroyable en capturant l’essence de chaque personnage et en les rendant totalement crédibles.

Madame Bovary est un classique absolu de la littérature et du cinéma français, mettant en scène une héroïne malchanceuse aux choix romantiques qui ressemblent à ceux que l’on retrouve dans le monde des connards de Bridget Jones. Madame Bovary propose à la fois des récits divertissants et édifiants : un ultime fantasme sexuel mais aussi un récit édifiant sur le fait d’adhérer trop facilement à ses désirs.

Une introduction au hentai et aux sous-genres

Anime Hentai (anime sur le thème des adultes) englobe divers fétiches sexuels, notamment l’acchi, le bakunyu et l’inceste. La génération Z et les millennials apprécient particulièrement le porno hentai. Cependant, les parents doivent se rappeler qu’il ne doit en aucun cas être montré aux enfants.

Le porno tentaculaire est un sous-genre du hentai animé qui présente des appendices ressemblant à des tentacules. Alors que certains trouvent sa nature taboue désagréable, voire traumatisante, d’autres peuvent trouver une grande satisfaction en expérimentant le porno tentaculaire.

Vous pouvez trouver ce type de contenu en ligne et sur les sites Web de pornographie adulte ! Si certains trouvent son contenu désagréable ou bouleversant, d’autres le trouvent profondément satisfaisant. Certains fans sont attirés par les cultures extraterrestres, tandis que d’autres sont attirés par ses formes tentaculaires.

Le porno tentaculaire peut conduire à d’autres fétiches pour les fans d’anime qui s’adonnent régulièrement au porno tentaculaire, y compris l’imprégnation extraterrestre ou le fétichisme sexuel des tentacules, l’un des plus populaires parmi les hommes homosexuels et l’un des nombreux communautés en ligne qui lui sont dédiées.

Certains, comme r/consentacles et r/tentaclesex, se concentrent sur des images représentant des femmes se livrant à des relations sexuelles avec des tentacules, tandis que r/freeuse et r/conceptart explorent l’idée qu’un être extraterrestre peut s’installer dans le ventre d’une femme en tant que ventre de sa mère et devenir mère de ses petits.

Le porno tentaculaire est une tendance de plus en plus populaire dans la culture japonaise

Bien que les formes animées dominent ce genre, les films d’action réelle et les mangas l’intègrent également souvent.

Les origines du porno tentaculaire restent incertaines. Certaines théories pensent qu’il s’agit d’une excroissance du shunga, une forme d’art des XVIIIe et XIXe siècles représentant les relations sexuelles entre des sujets humains et des animaux dans ses œuvres. D’autres soulignent son impact sur les films fantastiques/science-fiction sortis dans les années 1980. Quelles que soient ses racines, ce genre reste controversé en raison de sa nature et de ses pratiques d’exploitation.

L’érotisme tentaculaire attire deux publics principaux : ceux qui le trouvent humoristique et idiot et ceux qui le trouvent dérangeant et déshumanisant. Ce premier groupe est à l’origine d’œuvres parodiques populaires comme La Blue Girl, qui se moque de cette tendance en utilisant l’humour pour attirer l’attention de manière inattendue.

La pornographie tentaculaire est depuis longtemps attrayante en tant qu’examen de la vie et de la conscience humaines. Tout comme les films d’horreur, le porno tentaculaire teste les limites entre notre physique et notre conscience dans le but de choquer le public. Pourtant, certains pornos à tentacules de peur peuvent normaliser un comportement sexuel non consensuel et faciliter sa normalisation par les téléspectateurs.

Lolicon est un genre d’anime mettant en scène des jeunes filles dans des situations sexuelles

Souvent représentées à travers des mangas ou des bandes dessinées. Bien que certains considèrent Lolicon comme inapproprié, d’autres trouvent son style mignon et innocent plus attachant et peuvent choisir de ne pas le lire.

Lolicon (rorikon) est un terme japonais qui décrit l’attirance sexuelle entre les jeunes personnages féminins des anime et mangas et les hommes plus âgés. Ce terme trouve son origine dans l’histoire Lolita de 1950 de Vladimir Nabokov, dans laquelle un homme plus âgé devient obsédé sexuellement par une jeune fille.

Le manga Lolicon diffère de son homologue centré sur les femmes en ce sens qu’il cible principalement les sujets jeunes et prépubères dans un contexte sexuel. Faisant partie des mangas shonen, ces histoires décrivent souvent des rencontres illégales entre jeunes et adultes qui deviennent sexuelles. De nombreux rapports croisent également des récits de travestissement et de futanari pour une expérience de lecture passionnante.

Le manga érotique est apparu pour la première fois au Japon dans les années 1980. Il a rapidement gagné du terrain parmi les écoliers en raison de ses images plus réalistes mais stylisées que les mangas shoujo typiques. Dans les années 1990 et au début des années 2000, le sujet s’est répandu au-delà des cercles d’écoliers dans les magazines grand public – en grande partie grâce à la série populaire de Hideo Azuma mettant en scène des filles mineures dans des situations sexuelles.

Bien que les mangas restent controversés, ils peuvent généralement être appréciés en toute sécurité par des personnes qui en comprennent les risques et qui sont bien adaptées. De plus, son contenu a tendance à être plus fantaisiste que réaliste, représentant la vie d’adolescents japonais.

Mais la controverse demeure dans ce genre d’anime, avec des poursuites intentées par les parents à ce sujet

De plus, il convient de noter que la plupart des producteurs de porno hentai ne laissent aucun choix aux animateurs, aux doubleurs et aux traducteurs lors du choix des films ou des bandes dessinées à produire. La plupart des travailleurs sont sous-traités selon les besoins, bien que certaines sociétés d’éro-anime permettent aux pigistes de choisir leurs propres projets.

Bien qu’en dehors du Japon, le terme « hentai » fasse généralement référence aux anime et manga destinés aux adultes, au Japon, le terme englobe également un style artistique consacré à des sujets matures connu sous le nom de shunga et facilement distinguable des mangas et animations conventionnels en raison de son contenu explicite et se concentrer sur des sujets adultes.

Shunga peut être considéré comme sexuel, mais il n’est pas considéré comme pornographique au sens le plus strict du terme. L’animation présente diverses activités sensuelles, notamment les rapports sexuels, le voyeurisme et la masturbation, ainsi que des scènes représentant des couples interagissant de manière romantique par d’autres moyens, comme flirter ou s’embrasser. De tels lieux accompagnent souvent une musique sensuelle ou un dialogue parlé.

Le Japon moderne a vu des milliers de peintures, de gravures et de livres contenant des textes sexuellement explicites produits sous shunga. Ces œuvres faisaient partie de l’école Ukiyo-e. Bien que leur ton soit souvent tendre ou humoristique, leur sensualité était indéniable.

À tel point que certains étaient également connus sous des noms tels que warai-e.

Comme ses homologues grecs et romains antiques, le Shunga (« art esthétique » en japonais) était souvent exposé publiquement et apprécié lors de soirées privées. Mais contrairement aux expositions plus provocatrices de ce type d’images à Rome, la société japonaise imposait davantage de restrictions à la visualisation de cette forme d’art visuel. Contrairement à Pompéi ou Herculanum, où ces images pouvaient être exposées publiquement dans les salles des musées, dans le cas du Japon, elles apparaissaient généralement sur des rouleaux et des gravures qui pouvaient facilement être rangées après utilisation.

Les gravures sur bois Shunga sont restées populaires bien qu’elles soient illégales depuis 1722. Ils ont continué à être produits et vendus secrètement jusqu’à ce que la révolution Meiji et l’avènement de la photographie au Japon. Leurs dessins sur bois ont inspiré divers artistes occidentaux comme Toulouse-Lautrec et Degas.

Shunga est un sujet essentiel de l’anime, illustrant l’évolution des sociétés au fil du temps. Shunga montre que les croyances traditionnelles ne doivent pas nécessairement rester statiques. Les gens peuvent dépasser les traditions néfastes en faveur de celles qui offrent des avantages – ce que le Japon pourrait utiliser aujourd’hui pour mieux accepter ce qui a pu être perdu ou caché depuis trop longtemps.

L’anime hentai couvre de nombreux genres et sous-genres

De la comédie aux drames meurtriers et fantastiques, en passant par l’érotisme ou la violence. Hentai lui-même signifie « pervers », il n’est donc pas surprenant que ce genre contienne du matériel pornographique. Cependant, sa présence n’implique pas de contenu sexuellement explicite, ce qui fait du hentai une forme d’anime répandue parmi ses fans.

L’anime x x x Hentai, contrairement à l’anime Shounen, qui cible les hommes âgés de la fin de l’adolescence au début de l’âgUne introduction au hentai et aux sous-genrese adulte, présente principalement des intrigues violentes basées sur l’horreur avec quelques éléments sexuels. Dans le même temps, le hentai est généralement plus violent et axé sur la psychologie, mettant en vedette des anti-héros et des interprétations sombres d’histoires de science-fiction/fantastique/criminalité avec des protagonistes criminels comme personnages.

L’anime Mecha est un autre sous-genre du hentai qui met en valeur les robots (mecha)

Alors que la plupart des mechas se déroulent dans des décors de science-fiction, d’autres peuvent s’inspirer de guerres historiques ou de mythologie ancienne. Les Mecha sont souvent très articulés pour exprimer leurs émotions et ont des niveaux élevés d’interactivité. Il en existe deux types : les super mechas, qui comportent des machines puissantes, et les vrais mechas, qui s’efforcent de créer des robots plus réalistes.

D’autres genres d’anime populaires incluent la romance, le sport, le shoujo, la comédie d’action, l’horreur et la fantaisie. Les animes romantiques se concentrent généralement sur des histoires d’amour avec des rencontres romantiques complexes qui laisseront le public émotionnellement investi et connecté aux personnages représentés à l’écran. De nombreux animes romantiques combinent d’autres genres, comme la fantasy ou le harem, dans leur narration pour un impact maximal.

L’anime tranche de vie est un autre genre répandu qui dépeint les événements quotidiens à travers des histoires de tranches de vie. Ce genre peut constituer une excellente passerelle vers l’anime pour un public plus jeune, en suscitant l’émerveillement sur leur vie tout en les aidant à développer leur confiance individuelle.

Changements dans la culture et les traditions après la COVID-19

La pression monte depuis des semaines : jeudi dernier, des milliers de personnes ont manifesté dans les villes de France pour demander la réouverture du secteur artistique et culturel et l’examen de mesures de dissociation sociale. À Paris, 50 personnes ont violemment fait irruption dans le théâtre de l’Odéon, fermé à clé, sur la rive gauche et ont refusé de quitter le bâtiment. Elles se sont alignées dans le hall d’entrée orné et sur le balcon en velours du théâtre, avec des sacs de couchage et de la nourriture, jurant de rester aussi longtemps qu’il le faudrait pour que les autorités obtempèrent.

Depuis l’occupation de ces deux théâtres à Paris, le mouvement s’est étendu à toute la France. Au moins 30 théâtres et salles de concert ont été occupés à Strasbourg, Lille, Nantes, Châteauroux, Youporn Toulouse, Besançon, Marseille et Saint-Étienne. Clément Valette, secrétaire général du Syndicat des artistes, a déclaré qu’il espérait que la distribution se multiplierait et inclurait d’autres lieux culturels tels que les musées et les cinémas. Les travailleurs culturels demandent la même aide aux autorités et expriment les mêmes préoccupations et frustrations.

Le groupe demande au gouvernement de rouvrir les espaces culturels et d’augmenter le chômage des artistes. Leurs demandes au gouvernement sont doubles : la réouverture des espaces culturels par une politique d’équilibre social et un soutien financier plus important pour les artistes.

En mars, le gouvernement français a annoncé une nouvelle aide de plusieurs millions d’euros pour le secteur culturel du pays. En mai dernier, le gouvernement a annoncé qu’il augmenterait les indemnités de chômage prévues jusqu’au 21 août, mais M. Gravouil estime que ce n’est pas suffisant pour la vie des autres.

Des changements sont en cours

En Espagne, la version définitive de la loterie aura lieu en 2000. Changements et programmes sociaux : La plupart des services sociaux et des programmes de développement en Espagne sont entre les mains de l’État, y compris les autorités des gouvernements régionaux et de l’Église catholique romaine.

Un autre changement important dans l’organisation politique de l’Espagne depuis la constitution moderne est la création de dix-sept régions autonomes et de cinquante provinces réparties géographiquement. Chacune de ces régions a son propre gouvernement régional et son propre ministère du Budget. Ceux-ci sont reproduits au niveau national.

Covid 19 : faut-il renoncer à passer Noël en famille pour éviter une reprise de l'épidémie ?

De nombreux artistes en France travaillent sous un statut spécial appelé « intermittent », qui tient compte de la nature saisonnière de leur travail. Pendant la saison morte, les 250 000 travailleurs intermittents du pays bénéficient de généreuses allocations de chômage. Pour en bénéficier, les artistes doivent travailler au moins 507 heures par an. Les prestations sont calculées sur la base de leur revenu mensuel moyen pendant leurs heures de travail. C’est à dire s’ils travaillent et ne regardent pas Xhamster pendant leurs heures de travail.

La disponibilité des films en 3D a encouragé les exploitants à introduire le cinéma numérique, permettant aux cinémas de concurrencer les cinémas à domicile. L’une des raisons pour lesquelles les cinémas diffusent des films en 3D est l’augmentation des ventes de billets.

Les grands complexes de cinéma, le concept dit de « multiplex », développé au Canada dans les années 1950, comptaient jusqu’à trente écrans. Les petits cinémas avaient un seul auditorium avec un seul écran. D’ici à 2010, la plupart des cinémas disposeront de plusieurs écrans.

Culture et traditions post COVID-19

Dans certains cas, un multiplex est un cinéma construit sur le site d’un ancien cinéma en plein air. Un cinéma en plein air est une zone herbeuse où le public s’assoit sur des chaises, des couvertures ou des jacuzzis et regarde des films sur des écrans temporaires installés sur les murs du bâtiment.

Il ne fait aucun doute que le 200e anniversaire de la mort de Napoléon Bonaparte approche. Le mercredi suivant verra l’emblème d’un empereur. Ils seront rassemblés dans la Grande Halle de la Villette, en banlieue parisienne, avec de magnifiques tenues, des armes, des médailles, des porcelaines et un monumental carrosse de mariage…

À l’approche du 200e anniversaire de la mort de Napoléon Bonaparte, le 5 mai, la question est de savoir quand quelqu’un le verra. Les nombreuses expositions sur ses boudoirs privés, le château de Fontainebleau, le musée de l’Armée et les collections de portraits christiques qui se sont développées pendant son exil ont été mises en attente. Les Anglais ont été impliqués dans la perturbation de sa célébration en Anglaise lorsque la COVID-19 a déclenché une nouvelle vague pandémique qui a conduit la France à la ruine.

L’ampleur presque incompréhensible de ses réalisations ne peut être ignorée :

  • La conquête de l’Égypte
  • La prise de contrôle de la France dans les années 1930
  • La domination de la majeure partie de l’Europe continentale dans les années 1940.

Mais ses échecs sont légendaires : l’orgueil démesuré qui l’a conduit à la catastrophe en Russie, l’incroyable fuite de l’exil sur l’île d’Elbe, la marche de 22 jours vers Paris pour récupérer son trône, le visage de la défaite finale à Waterloo, et les tristes derniers jours à Sainte-Hélène. Lorsqu’on lui a demandé de nommer le plus grand général du monde, le rival anglais, le duc de Wellington, a déclaré : « L’âge du passé est l’âge de Napoléon. Il convient au régime français de le renverser. L’ambivalence de Francis à l’égard de Napoléon était exagérée, ajoute Hicks.

États-Unis : la question raciale envahit le débat politique – Jeune AfriqueLa politique raciale

En France, l’importance croissante de la politique raciale a donné un nouvel éclairage à l’héritage de Napoléon. Il a renforcé sa détermination à rétablir l’esclavage en 1802, moins d’une décennie après sa révolution pour abolir l’esclavage. La COVID traverse une période difficile pour le 200 m. Selon les épidémiologistes, le gouvernement espérait une réouverture des sites à la mi-mai, mais c’est prématuré. Avec une grande exposition des grands spectacles et cinq millions d’euros pour La Voissa Villette, mis à disposition pour la première fois depuis la redécouverte de l’ordonnance de 1802 en 2007, les organisateurs abordent de front l’héritage napoléonien.

Un exercice d’équilibriste délicat en raison des élections de l’année prochaine. Le président français Emmanuel Macron, connu pour ses mèmes et ses tempéraments, a indiqué qu’il adopterait une approche plus nuancée. Mais, étant donné que la pandémie attire l’attention politique, on ne sait pas exactement ce que cela signifie.

Les arrestations arbitraires, les violations des conventions internationales relatives aux droits de l’homme et la discrimination à l’égard des femmes et des minorités sont en hausse. Dans le même temps, le gouvernement poursuit un programme controversé dans un monde distrait par la pandémie de COVID-19. Cela affecte de manière disproportionnée les femmes et les minorités, a déclaré Federica Alessandra, co-présidente du Comité des droits de l’homme de l’IBA et chef de direction de l’Oxford Programme for International Peace and Security.

Les DLA ?

Les Dispositifs Locaux d’Accompagnement (DLA) et Centre Régionaux de Ressources et d’Appui (C2RA) sont financés par l’Etat (Ministère de l’Economie, des finances et de l’emploi à travers sa Délégation générale à l’Emploi et à la Formation professionnelle – DGEFP), la Caisse des dépôts, le Fonds social européen et, le cas échéant, des acteurs locaux (collectivités…). Ils visent à constituer un réseau national d’accompagnement de proximité des structures porteuses d’activités d’utilité sociale (associations, coopératives, structures d’insertion,…), comme il en existe déjà pour l’accompagnement à la création d’entreprise.

Contribuant à la consolidation et au développement des activités et services d’utilité sociale, ce dispositif constitue un véritable outil de développement local au service des territoires, et porte en lui un enjeu majeur de promotion des initiatives socio-économiques.

Le dispositif s’articule autour

d’un accompagnement local assuré par les DLA : Dispositifs Locaux d’Accompagnement.

d’une coordination régionale portée par les C2RA : Centres Régionaux de Ressources et d’Animation.

d’un apport d’expertise par l’intermédiaire des CNAR, Centres Nationaux d’Apui et de Ressources, mis en place dans le secteur de la culture, du sport, de l’environnement, du médico-social, du “financement”.

Enfin, une mission nationale d’animation, d’outillage, d’appui technique et de qualification de ces opérateurs a été confiée par le Ministère de l’Emploi et la Caisse des dépôts à l’Avise : Agence de Valorisation des Initiatives Socio-Economiques. Objectif : animer et garantir la qualité de l’ensemble du dispositif.

Sur le site de l’Avise (http://www.avise.org), vous trouverez notamment une présentation des DLA et la carte des DLA et C2RA (Centres régionaux de ressource et d’appui) avec leurs coordonnées.

Les DLA comment ça marche ?

Une association peut solliciter le DLA pour être accompagnée, ou le DLA peut solliciter l’association. Il ne s’agit là ni d’un droit ni d’une obligation, l’association pouvant décliner l’offre du DLA et le DLA la demande de l’association.

En premier lieu, le DLA réalise un diagnostic des besoins d’accompagnement de l’association, qu’il complète par un cahier des charges de l’intervention d’accompagnement à mettre en œuvre. Le diagnostic et le cahier des charges sont “partagés”, c’est-à-dire finalisés avec l’accord des responsables associatifs quant au contenu et aux orientations.

Le cahier des charges est ensuite soumis à des “prestataires”, qui vont concevoir une proposition détaillant les modalités de leur intervention d’accompagnement. La proposition, retenue conjointement par le DLA et l’association, déterminera alors la signature d’une convention entre le DLA et le prestataire (experts, consultants, formateurs…), convention parfois tripartite en intégrant l’association comme signataire.

Les interventions des prestataires visent à soutenir le développement de l’association : recherche d’une meilleure organisation interne, d’une diversification des activités et des ressources, aide à la formulation de stratégies de développement, soutien dans des phases de négociation et de contractualisation…

2 types d’accompagnement sont possibles et peuvent être concomittants :

un accompagnement individuel, notamment quand les besoins sont propres à l’association (évolution du projet associatif, redéfinition d’activité, réorientation stratégique, etc.) ou importants (embauche de salarié(s), projet de grande envergure, etc.),

un accompagnement collectif, quand les besoins à traiter sont plus généralistes (information fiscale, formation comptable, recherche de financements, etc.) et quand plusieurs associations sont localement susceptibles de bénéficier d’un même type d’accompagnement.

Rappelons enfin qu’aucune participation financière ne vous est demandée. L’accompagnement est intégralement financé par le DLA (via l’Etat, la Caisse des Dépôts, le Fonds Social Européen (FSE) et éventuellement les collectivités territoriales).

Pour toute information sur les DLA dans le secteur culturel, n’hésitez pas à appeler Opale – CNAR Culture au 01 45 65 20 00.

Accompagnement collectif audiovisuel et cinéma

Focus sur l’accompagnement collectif DLA d’associations lilloises du champ de l’audiovisuel et du cinéma.

Montage

Partant du constat que plusieurs associations audiovisuelles (cinéma d’animation, documentaire, cinéma associatif…) avaient été accompagnées à titre individuel en 2005 et que de nouvelles demandes leur étaient adressées pour 2006, les deux DLA portés – par les CBE de Lille et de Roubaix-Tourcoing-Vallée de la Lys en partenariat avec la Maison de l’Emploi de Lille ont envisagé de mettre en place à l’échelle de la métropole un accompagnement collectif sur ce champ.

Pour valider l’intérêt d’une telle démarche, les chargés de mission DLA ont réuni les 3 consultants ayant mené les accompagnements individuels afin de recueillir leurs avis et orientations. D’autre part, ils ont interrogé des techniciens d’institutions (DRAC, Conseil Régional…) pour cerner leurs attentes.

La quinzaine d’associations repérées par les DLA a ensuite été conviée à deux réunions de préparation qui ont débouché sur un diagnostic partagé des besoins et surtout, sur la constitution d’un groupe de 13 structures prêtes à s’engager dans l’accompagnement.

L’ensemble de ces sources (la réunion avec les consultants, les rencontres avec les institutions et les séances de travail avec les associations) ont permis d’établir le cahier des charges, lequel a été envoyé à deux des prestataires ayant participé à la réunion préparatoire. Ces prestataires ont été invités à présenter leur proposition d’intervention devant le groupe d’associations. Celles-ci ont donc pleinement participé au choix qui s’est porté sur le cabinet Multicité, dont un des membres est spécialisé sur l’audiovisuel.

Déroulement général et effets

L’accompagnement (qui s’est déroulé entre février et octobre 2007) a combiné :
– des rencontres individuelles qui ont permis de dresser un état des lieux de l’offre proposée par les associations concernées en matière de cinéma/audiovisuel sur la métropole,
– une série d’ateliers en groupes qui ont abouti à la naissance du CAC, Collectif Audiovisuel et Cinéma et à l’élaboration d’une charte posant un certain nombre de valeurs et intentions communes,
– des entretiens avec une demi-douzaine d’institutionnels (Jeunesse & Sports, DRAC, Région, ville de Lille…),
– une restitution/débat réunissant les membres du CAC et des représentants d’institutions.

Cet accompagnement collectif mené dans le cadre du DLA a contribué à la mise en réseau des principaux acteurs associatifs de l’audiovisuel sur la métropole Lilloise – ils continuent aujourd’hui à se réunir hors du DLA – et a amélioré la lisibilité de ce champ aux yeux des institutionnels.

EN RÉSUMÉ

– L’ intuition de la part de deux DLA d’un besoin de travail collectif face au nombre d’associations audiovisuelles ayant suivi ou sollicité un accompagnement individuel
– Une préparation en amont : réunion avec des consultants, rencontre des institutions, séances de travail avec les associations pressenties.
– Une implication des associations volontaires pour participer à la démarche dans l’élaboration du cahier des charges et dans le choix du cabinet.
– Une restitution en présence des institutions (DRAC, Région…)
– Un effet de création d’un réseau dont la dynamique perdure au-delà de l’accompagnement.
Contacts

– Maison de l’Emploi de Lille, Florence Collet & Hervé Chattuais : 03 20 14 85 50 f.collet(at)reussir.asso.fr ou h.chattuais(at)reussir.asso.fr
– Multicité, Olivier Hubert & Emmanuelle Wattier : 03 21 23 49 71 ohubert(at)multicite.org et ewattier(at)multicite.org

Accompagnement collectif d’adhérents du Synavi

Focus sur l’accompagnement collectif des adhérents du Synavi (Syndicat national des arts vivants) en Nord-Pas de Calais.
Origine

Fin 2005, le bilan des accompagnements culture dans le Nord-Pas de Calais réalisé par le Cnar Culture a mis en évidence une sous-représentation des associations de spectacle vivant (lire ce bilan) .

Le Cnar Culture a pris alors contact avec le Synavi, Syndicat National des Arts Vivants, pour l’inciter à relayer le dispositif DLA auprès de ses adhérents. Celui-ci a joué le jeu et a invité le Cnar Culture, le C2RA, et un opérateur DLA à présenter, à l’aide d’exemples, les possibilités d’accompagnement individuel et collectif aux compagnies membres de son réseau.

Après avoir réfléchi aux opportunités offertes par le dispositif, le Synavi a sollicité le Cnar Culture en vue d’engager un travail collectif portant sur la mutualisation, cette thématique constituant l’un de ses chantiers prioritaires depuis notamment la journée « Art, Culture, Economie Solidaire : est-ce qu’on pourrait faire autrement ? » (organisée à Lille en 2004).
Montage

Le Cnar a transmis cette demande aux opérateurs DLA de la métropole lilloise qui ont organisé deux réunions avec des structures adhérentes du Synavi pour affiner les besoins et déterminer qui va participer à la démarche.

Le groupe constitué a réuni 12 compagnies, soit un tiers des adhérents du réseau et est représentatif de la diversité des disciplines (danse, théâtre, marionnette…), des budgets (des structures bien dotées et des compagnies fragiles), des niveaux de développement (structures confirmées et émergentes), des implantations (Nord et Pas de Calais – ce qui permet d’associer un 3è DLA, celui du Pas de Calais).

Le cahier des charges, établi conjointement par le Cnar et les DLA, et validé par les principaux intéressés a été transmis à quatre cabinets.

Une journée « d’audition » a été organisée par les DLA : les cabinets ont présenté oralement le détail de leurs propositions et ont répondu aux questions des compagnies. Celles-ci ont ensuite pris le temps – une quinzaine de jours – pour échanger sur leurs avis et ressentis suite aux rencontres avec les différents consultants. La proposition commune des cabinets Prémisses et La Croisée des Chemins a été retenue en raison de la méthodologie souple et adaptée, de la complémentarité des compétences et des expériences et de la connaissance du secteur artistique.
Déroulement général et résultats

L’accompagnement se déroule sur une période de 8 mois (mars à oct 2007). Après une phase d’entretiens individuels, six ateliers d’une journée réunissant l’ensemble des participants portent sur :
– une mise à plat du fonctionnement interne et une réflexion sur les statuts juridiques ;
– un panorama des besoins en termes d’emplois et de compétences ;
– les différents modes de collaboration interne et externe
– la conception d’un outil d’analyse des projets de mutualisation ;
– les possibilités de mutualisation de moyens ;
– les plans d’action pour les projets émergents ;

Cette série d’ateliers, au cours desquels les compagnies ont été assidues et impliquées, a permis :
– de confirmer l’intérêt d’un projet de services aux compagnies portés par deux administratrices (le projet préexistait à l’accompagnement) ;
– de faire émerger des projets de partage de moyens matériels, en l’occurrence : une remorque avec gradins incorporés pour résoudre les problèmes liés à l’itinérance et un site internet offrant des ressources techniques dans le secteur chorégraphique. Des négociations collectives avec des fournisseurs communs ont été également envisagées ;
– de créer un outil (un QCM téléchargeable sur internet) pour questionner la structuration interne, l’emploi, les statuts juridiques.
EN RÉSUMÉ

– Le rapprochement entre l’antenne régionale d’un syndicat professionnel, le Synavi, et le Cnar Culture.
– Une thématique d’accompagnement, la mutualisation, en phase avec l’un des chantiers prioritaires du Synavi.
– Un groupe de 12 compagnies, impliquées et assidues, représentatif de la diversité des adhérents du réseau.
– Un processus collégial pour choisir les intervenantes.
– La confirmation d’un projet d’activité de services administratifs pour les compagnies et l’émergence de projets de mutualisation de moyens matériels.
Contacts

– Maison de l’Emploi de Lille, Florence Collet & Hervé Chattuais : 03 20 14 85 50. f.collet(at)reussir.asso.fr ou h.chattuais(at)reussir.asso.fr.
– Prémisses, Aurélie Foltz : 01 57 42 29 43, asso.premisses(at)wanadoo.fr.
– La Croisée des Chemins, Catherine Nasser : 06 07 91 23 48, croiseedeschemins-cdc2003(at)club-internet.fr.
Télécharger

– Cahier des charges (en PDF)
– Rapport des consultantes (diaporama powerpoint)

Historique et références

Depuis 1988, voici les points marquants des activités menées par l’association Opale. Vous pouvez également consulter l’ensemble de nos références.

– 2004 : Signature d’une Convention entre Opale, le ministère de l’Emploi, du travail et de la cohésion sociale, la Caisse des Dépôts et Consignations et le ministère de la Culture pour animer un centre national d’appui et de ressources (CNAR) dans le domaine culturel auprès des Dispositifs Locaux d’Accompagnements.

– 2002-2003 : Réalisation de nombreuses études sur les nouveaux services – emplois jeunes dans différents secteurs : les musiques actuelles, les arts de la rue et du cirque, les friches artistiques et culturelles.

– 2002 : Développement sensible de l’activité d’accompagnement d’associations culturelles : aide au développement, assistance technique, stratégie de pérennisation des activités et des emplois. Plus de 20 associations accompagnées en 2002-2003 et 2004.

– 2002 : Lancement des ateliers Culture & Proximité, formation continue pour les acteurs du développement culturel local. Déménagement dans de nouveaux locaux.

– 2001-2002 : Mise en oeuvre d’un dispositif d’aide à la pérennisation des emplois-jeunes sur 15 associations culturelles française avec la Caisse des Dépôts et Consignations et France Active.

– 1997 : Développement de l’activité de bureau d’études pour des collectivités territoriales, des services d’Etat et des réseaux associatifs.

– 1996-2000 : Lancement et développement des éditions Culture & Proximité consacrées aux expériences et projets culturels dans le développement local. Publication de 10 numéros de La lettre Culture & Proximité et de cinq hors-série dont Action culturelle dans les quartiers et Action culturelle dans la ville.

– 1993-1995 : Accompagnement à la mise en oeuvre du Programme cafés-musiques, dispositif de soutien du ministère de la Culture en faveur des lieux musicaux de proximité.

– 1994 : Déménagement des locaux dans le treizième arrondissement de Paris.

– 1988-1993 : Opale est résidente dans une friche urbaine à Ris-Orangis (Essonne) : le Centre Autonome d’Expérimentation Sociale (CAES). Elle y met notamment en place un dispositif expérimental d’accompagnement pour favoriser le développement sur la friche de “services de proximité” à caractère culturel.

Références
Principaux travaux d’Opale depuis 1990