Changements dans la culture et les traditions après la COVID-19

La pression monte depuis des semaines : jeudi dernier, des milliers de personnes ont manifesté dans les villes de France pour demander la réouverture du secteur artistique et culturel et l’examen de mesures de dissociation sociale. À Paris, 50 personnes ont violemment fait irruption dans le théâtre de l’Odéon, fermé à clé, sur la rive gauche et ont refusé de quitter le bâtiment. Elles se sont alignées dans le hall d’entrée orné et sur le balcon en velours du théâtre, avec des sacs de couchage et de la nourriture, jurant de rester aussi longtemps qu’il le faudrait pour que les autorités obtempèrent.

Depuis l’occupation de ces deux théâtres à Paris, le mouvement s’est étendu à toute la France. Au moins 30 théâtres et salles de concert ont été occupés à Strasbourg, Lille, Nantes, Châteauroux, Youporn Toulouse, Besançon, Marseille et Saint-Étienne. Clément Valette, secrétaire général du Syndicat des artistes, a déclaré qu’il espérait que la distribution se multiplierait et inclurait d’autres lieux culturels tels que les musées et les cinémas. Les travailleurs culturels demandent la même aide aux autorités et expriment les mêmes préoccupations et frustrations.

Le groupe demande au gouvernement de rouvrir les espaces culturels et d’augmenter le chômage des artistes. Leurs demandes au gouvernement sont doubles : la réouverture des espaces culturels par une politique d’équilibre social et un soutien financier plus important pour les artistes.

En mars, le gouvernement français a annoncé une nouvelle aide de plusieurs millions d’euros pour le secteur culturel du pays. En mai dernier, le gouvernement a annoncé qu’il augmenterait les indemnités de chômage prévues jusqu’au 21 août, mais M. Gravouil estime que ce n’est pas suffisant pour la vie des autres.

Des changements sont en cours

En Espagne, la version définitive de la loterie aura lieu en 2000. Changements et programmes sociaux : La plupart des services sociaux et des programmes de développement en Espagne sont entre les mains de l’État, y compris les autorités des gouvernements régionaux et de l’Église catholique romaine.

Un autre changement important dans l’organisation politique de l’Espagne depuis la constitution moderne est la création de dix-sept régions autonomes et de cinquante provinces réparties géographiquement. Chacune de ces régions a son propre gouvernement régional et son propre ministère du Budget. Ceux-ci sont reproduits au niveau national.

Covid 19 : faut-il renoncer à passer Noël en famille pour éviter une reprise de l'épidémie ?

De nombreux artistes en France travaillent sous un statut spécial appelé « intermittent », qui tient compte de la nature saisonnière de leur travail. Pendant la saison morte, les 250 000 travailleurs intermittents du pays bénéficient de généreuses allocations de chômage. Pour en bénéficier, les artistes doivent travailler au moins 507 heures par an. Les prestations sont calculées sur la base de leur revenu mensuel moyen pendant leurs heures de travail. C’est à dire s’ils travaillent et ne regardent pas Xhamster pendant leurs heures de travail.

La disponibilité des films en 3D a encouragé les exploitants à introduire le cinéma numérique, permettant aux cinémas de concurrencer les cinémas à domicile. L’une des raisons pour lesquelles les cinémas diffusent des films en 3D est l’augmentation des ventes de billets.

Les grands complexes de cinéma, le concept dit de « multiplex », développé au Canada dans les années 1950, comptaient jusqu’à trente écrans. Les petits cinémas avaient un seul auditorium avec un seul écran. D’ici à 2010, la plupart des cinémas disposeront de plusieurs écrans.

Culture et traditions post COVID-19

Dans certains cas, un multiplex est un cinéma construit sur le site d’un ancien cinéma en plein air. Un cinéma en plein air est une zone herbeuse où le public s’assoit sur des chaises, des couvertures ou des jacuzzis et regarde des films sur des écrans temporaires installés sur les murs du bâtiment.

Il ne fait aucun doute que le 200e anniversaire de la mort de Napoléon Bonaparte approche. Le mercredi suivant verra l’emblème d’un empereur. Ils seront rassemblés dans la Grande Halle de la Villette, en banlieue parisienne, avec de magnifiques tenues, des armes, des médailles, des porcelaines et un monumental carrosse de mariage…

À l’approche du 200e anniversaire de la mort de Napoléon Bonaparte, le 5 mai, la question est de savoir quand quelqu’un le verra. Les nombreuses expositions sur ses boudoirs privés, le château de Fontainebleau, le musée de l’Armée et les collections de portraits christiques qui se sont développées pendant son exil ont été mises en attente. Les Anglais ont été impliqués dans la perturbation de sa célébration en Anglaise lorsque la COVID-19 a déclenché une nouvelle vague pandémique qui a conduit la France à la ruine.

L’ampleur presque incompréhensible de ses réalisations ne peut être ignorée :

  • La conquête de l’Égypte
  • La prise de contrôle de la France dans les années 1930
  • La domination de la majeure partie de l’Europe continentale dans les années 1940.

Mais ses échecs sont légendaires : l’orgueil démesuré qui l’a conduit à la catastrophe en Russie, l’incroyable fuite de l’exil sur l’île d’Elbe, la marche de 22 jours vers Paris pour récupérer son trône, le visage de la défaite finale à Waterloo, et les tristes derniers jours à Sainte-Hélène. Lorsqu’on lui a demandé de nommer le plus grand général du monde, le rival anglais, le duc de Wellington, a déclaré : « L’âge du passé est l’âge de Napoléon. Il convient au régime français de le renverser. L’ambivalence de Francis à l’égard de Napoléon était exagérée, ajoute Hicks.

États-Unis : la question raciale envahit le débat politique – Jeune AfriqueLa politique raciale

En France, l’importance croissante de la politique raciale a donné un nouvel éclairage à l’héritage de Napoléon. Il a renforcé sa détermination à rétablir l’esclavage en 1802, moins d’une décennie après sa révolution pour abolir l’esclavage. La COVID traverse une période difficile pour le 200 m. Selon les épidémiologistes, le gouvernement espérait une réouverture des sites à la mi-mai, mais c’est prématuré. Avec une grande exposition des grands spectacles et cinq millions d’euros pour La Voissa Villette, mis à disposition pour la première fois depuis la redécouverte de l’ordonnance de 1802 en 2007, les organisateurs abordent de front l’héritage napoléonien.

Un exercice d’équilibriste délicat en raison des élections de l’année prochaine. Le président français Emmanuel Macron, connu pour ses mèmes et ses tempéraments, a indiqué qu’il adopterait une approche plus nuancée. Mais, étant donné que la pandémie attire l’attention politique, on ne sait pas exactement ce que cela signifie.

Les arrestations arbitraires, les violations des conventions internationales relatives aux droits de l’homme et la discrimination à l’égard des femmes et des minorités sont en hausse. Dans le même temps, le gouvernement poursuit un programme controversé dans un monde distrait par la pandémie de COVID-19. Cela affecte de manière disproportionnée les femmes et les minorités, a déclaré Federica Alessandra, co-présidente du Comité des droits de l’homme de l’IBA et chef de direction de l’Oxford Programme for International Peace and Security.

Les DLA ?

Les Dispositifs Locaux d’Accompagnement (DLA) et Centre Régionaux de Ressources et d’Appui (C2RA) sont financés par l’Etat (Ministère de l’Economie, des finances et de l’emploi à travers sa Délégation générale à l’Emploi et à la Formation professionnelle – DGEFP), la Caisse des dépôts, le Fonds social européen et, le cas échéant, des acteurs locaux (collectivités…). Ils visent à constituer un réseau national d’accompagnement de proximité des structures porteuses d’activités d’utilité sociale (associations, coopératives, structures d’insertion,…), comme il en existe déjà pour l’accompagnement à la création d’entreprise.

Contribuant à la consolidation et au développement des activités et services d’utilité sociale, ce dispositif constitue un véritable outil de développement local au service des territoires, et porte en lui un enjeu majeur de promotion des initiatives socio-économiques.

Le dispositif s’articule autour

d’un accompagnement local assuré par les DLA : Dispositifs Locaux d’Accompagnement.

d’une coordination régionale portée par les C2RA : Centres Régionaux de Ressources et d’Animation.

d’un apport d’expertise par l’intermédiaire des CNAR, Centres Nationaux d’Apui et de Ressources, mis en place dans le secteur de la culture, du sport, de l’environnement, du médico-social, du “financement”.

Enfin, une mission nationale d’animation, d’outillage, d’appui technique et de qualification de ces opérateurs a été confiée par le Ministère de l’Emploi et la Caisse des dépôts à l’Avise : Agence de Valorisation des Initiatives Socio-Economiques. Objectif : animer et garantir la qualité de l’ensemble du dispositif.

Sur le site de l’Avise (http://www.avise.org), vous trouverez notamment une présentation des DLA et la carte des DLA et C2RA (Centres régionaux de ressource et d’appui) avec leurs coordonnées.

Les DLA comment ça marche ?

Une association peut solliciter le DLA pour être accompagnée, ou le DLA peut solliciter l’association. Il ne s’agit là ni d’un droit ni d’une obligation, l’association pouvant décliner l’offre du DLA et le DLA la demande de l’association.

En premier lieu, le DLA réalise un diagnostic des besoins d’accompagnement de l’association, qu’il complète par un cahier des charges de l’intervention d’accompagnement à mettre en œuvre. Le diagnostic et le cahier des charges sont “partagés”, c’est-à-dire finalisés avec l’accord des responsables associatifs quant au contenu et aux orientations.

Le cahier des charges est ensuite soumis à des “prestataires”, qui vont concevoir une proposition détaillant les modalités de leur intervention d’accompagnement. La proposition, retenue conjointement par le DLA et l’association, déterminera alors la signature d’une convention entre le DLA et le prestataire (experts, consultants, formateurs…), convention parfois tripartite en intégrant l’association comme signataire.

Les interventions des prestataires visent à soutenir le développement de l’association : recherche d’une meilleure organisation interne, d’une diversification des activités et des ressources, aide à la formulation de stratégies de développement, soutien dans des phases de négociation et de contractualisation…

2 types d’accompagnement sont possibles et peuvent être concomittants :

un accompagnement individuel, notamment quand les besoins sont propres à l’association (évolution du projet associatif, redéfinition d’activité, réorientation stratégique, etc.) ou importants (embauche de salarié(s), projet de grande envergure, etc.),

un accompagnement collectif, quand les besoins à traiter sont plus généralistes (information fiscale, formation comptable, recherche de financements, etc.) et quand plusieurs associations sont localement susceptibles de bénéficier d’un même type d’accompagnement.

Rappelons enfin qu’aucune participation financière ne vous est demandée. L’accompagnement est intégralement financé par le DLA (via l’Etat, la Caisse des Dépôts, le Fonds Social Européen (FSE) et éventuellement les collectivités territoriales).

Pour toute information sur les DLA dans le secteur culturel, n’hésitez pas à appeler Opale – CNAR Culture au 01 45 65 20 00.

Accompagnement collectif audiovisuel et cinéma

Focus sur l’accompagnement collectif DLA d’associations lilloises du champ de l’audiovisuel et du cinéma.

Montage

Partant du constat que plusieurs associations audiovisuelles (cinéma d’animation, documentaire, cinéma associatif…) avaient été accompagnées à titre individuel en 2005 et que de nouvelles demandes leur étaient adressées pour 2006, les deux DLA portés – par les CBE de Lille et de Roubaix-Tourcoing-Vallée de la Lys en partenariat avec la Maison de l’Emploi de Lille ont envisagé de mettre en place à l’échelle de la métropole un accompagnement collectif sur ce champ.

Pour valider l’intérêt d’une telle démarche, les chargés de mission DLA ont réuni les 3 consultants ayant mené les accompagnements individuels afin de recueillir leurs avis et orientations. D’autre part, ils ont interrogé des techniciens d’institutions (DRAC, Conseil Régional…) pour cerner leurs attentes.

La quinzaine d’associations repérées par les DLA a ensuite été conviée à deux réunions de préparation qui ont débouché sur un diagnostic partagé des besoins et surtout, sur la constitution d’un groupe de 13 structures prêtes à s’engager dans l’accompagnement.

L’ensemble de ces sources (la réunion avec les consultants, les rencontres avec les institutions et les séances de travail avec les associations) ont permis d’établir le cahier des charges, lequel a été envoyé à deux des prestataires ayant participé à la réunion préparatoire. Ces prestataires ont été invités à présenter leur proposition d’intervention devant le groupe d’associations. Celles-ci ont donc pleinement participé au choix qui s’est porté sur le cabinet Multicité, dont un des membres est spécialisé sur l’audiovisuel.

Déroulement général et effets

L’accompagnement (qui s’est déroulé entre février et octobre 2007) a combiné :
– des rencontres individuelles qui ont permis de dresser un état des lieux de l’offre proposée par les associations concernées en matière de cinéma/audiovisuel sur la métropole,
– une série d’ateliers en groupes qui ont abouti à la naissance du CAC, Collectif Audiovisuel et Cinéma et à l’élaboration d’une charte posant un certain nombre de valeurs et intentions communes,
– des entretiens avec une demi-douzaine d’institutionnels (Jeunesse & Sports, DRAC, Région, ville de Lille…),
– une restitution/débat réunissant les membres du CAC et des représentants d’institutions.

Cet accompagnement collectif mené dans le cadre du DLA a contribué à la mise en réseau des principaux acteurs associatifs de l’audiovisuel sur la métropole Lilloise – ils continuent aujourd’hui à se réunir hors du DLA – et a amélioré la lisibilité de ce champ aux yeux des institutionnels.

EN RÉSUMÉ

– L’ intuition de la part de deux DLA d’un besoin de travail collectif face au nombre d’associations audiovisuelles ayant suivi ou sollicité un accompagnement individuel
– Une préparation en amont : réunion avec des consultants, rencontre des institutions, séances de travail avec les associations pressenties.
– Une implication des associations volontaires pour participer à la démarche dans l’élaboration du cahier des charges et dans le choix du cabinet.
– Une restitution en présence des institutions (DRAC, Région…)
– Un effet de création d’un réseau dont la dynamique perdure au-delà de l’accompagnement.
Contacts

– Maison de l’Emploi de Lille, Florence Collet & Hervé Chattuais : 03 20 14 85 50 f.collet(at)reussir.asso.fr ou h.chattuais(at)reussir.asso.fr
– Multicité, Olivier Hubert & Emmanuelle Wattier : 03 21 23 49 71 ohubert(at)multicite.org et ewattier(at)multicite.org

Accompagnement collectif d’adhérents du Synavi

Focus sur l’accompagnement collectif des adhérents du Synavi (Syndicat national des arts vivants) en Nord-Pas de Calais.
Origine

Fin 2005, le bilan des accompagnements culture dans le Nord-Pas de Calais réalisé par le Cnar Culture a mis en évidence une sous-représentation des associations de spectacle vivant (lire ce bilan) .

Le Cnar Culture a pris alors contact avec le Synavi, Syndicat National des Arts Vivants, pour l’inciter à relayer le dispositif DLA auprès de ses adhérents. Celui-ci a joué le jeu et a invité le Cnar Culture, le C2RA, et un opérateur DLA à présenter, à l’aide d’exemples, les possibilités d’accompagnement individuel et collectif aux compagnies membres de son réseau.

Après avoir réfléchi aux opportunités offertes par le dispositif, le Synavi a sollicité le Cnar Culture en vue d’engager un travail collectif portant sur la mutualisation, cette thématique constituant l’un de ses chantiers prioritaires depuis notamment la journée « Art, Culture, Economie Solidaire : est-ce qu’on pourrait faire autrement ? » (organisée à Lille en 2004).
Montage

Le Cnar a transmis cette demande aux opérateurs DLA de la métropole lilloise qui ont organisé deux réunions avec des structures adhérentes du Synavi pour affiner les besoins et déterminer qui va participer à la démarche.

Le groupe constitué a réuni 12 compagnies, soit un tiers des adhérents du réseau et est représentatif de la diversité des disciplines (danse, théâtre, marionnette…), des budgets (des structures bien dotées et des compagnies fragiles), des niveaux de développement (structures confirmées et émergentes), des implantations (Nord et Pas de Calais – ce qui permet d’associer un 3è DLA, celui du Pas de Calais).

Le cahier des charges, établi conjointement par le Cnar et les DLA, et validé par les principaux intéressés a été transmis à quatre cabinets.

Une journée « d’audition » a été organisée par les DLA : les cabinets ont présenté oralement le détail de leurs propositions et ont répondu aux questions des compagnies. Celles-ci ont ensuite pris le temps – une quinzaine de jours – pour échanger sur leurs avis et ressentis suite aux rencontres avec les différents consultants. La proposition commune des cabinets Prémisses et La Croisée des Chemins a été retenue en raison de la méthodologie souple et adaptée, de la complémentarité des compétences et des expériences et de la connaissance du secteur artistique.
Déroulement général et résultats

L’accompagnement se déroule sur une période de 8 mois (mars à oct 2007). Après une phase d’entretiens individuels, six ateliers d’une journée réunissant l’ensemble des participants portent sur :
– une mise à plat du fonctionnement interne et une réflexion sur les statuts juridiques ;
– un panorama des besoins en termes d’emplois et de compétences ;
– les différents modes de collaboration interne et externe
– la conception d’un outil d’analyse des projets de mutualisation ;
– les possibilités de mutualisation de moyens ;
– les plans d’action pour les projets émergents ;

Cette série d’ateliers, au cours desquels les compagnies ont été assidues et impliquées, a permis :
– de confirmer l’intérêt d’un projet de services aux compagnies portés par deux administratrices (le projet préexistait à l’accompagnement) ;
– de faire émerger des projets de partage de moyens matériels, en l’occurrence : une remorque avec gradins incorporés pour résoudre les problèmes liés à l’itinérance et un site internet offrant des ressources techniques dans le secteur chorégraphique. Des négociations collectives avec des fournisseurs communs ont été également envisagées ;
– de créer un outil (un QCM téléchargeable sur internet) pour questionner la structuration interne, l’emploi, les statuts juridiques.
EN RÉSUMÉ

– Le rapprochement entre l’antenne régionale d’un syndicat professionnel, le Synavi, et le Cnar Culture.
– Une thématique d’accompagnement, la mutualisation, en phase avec l’un des chantiers prioritaires du Synavi.
– Un groupe de 12 compagnies, impliquées et assidues, représentatif de la diversité des adhérents du réseau.
– Un processus collégial pour choisir les intervenantes.
– La confirmation d’un projet d’activité de services administratifs pour les compagnies et l’émergence de projets de mutualisation de moyens matériels.
Contacts

– Maison de l’Emploi de Lille, Florence Collet & Hervé Chattuais : 03 20 14 85 50. f.collet(at)reussir.asso.fr ou h.chattuais(at)reussir.asso.fr.
– Prémisses, Aurélie Foltz : 01 57 42 29 43, asso.premisses(at)wanadoo.fr.
– La Croisée des Chemins, Catherine Nasser : 06 07 91 23 48, croiseedeschemins-cdc2003(at)club-internet.fr.
Télécharger

– Cahier des charges (en PDF)
– Rapport des consultantes (diaporama powerpoint)

Historique et références

Depuis 1988, voici les points marquants des activités menées par l’association Opale. Vous pouvez également consulter l’ensemble de nos références.

– 2004 : Signature d’une Convention entre Opale, le ministère de l’Emploi, du travail et de la cohésion sociale, la Caisse des Dépôts et Consignations et le ministère de la Culture pour animer un centre national d’appui et de ressources (CNAR) dans le domaine culturel auprès des Dispositifs Locaux d’Accompagnements.

– 2002-2003 : Réalisation de nombreuses études sur les nouveaux services – emplois jeunes dans différents secteurs : les musiques actuelles, les arts de la rue et du cirque, les friches artistiques et culturelles.

– 2002 : Développement sensible de l’activité d’accompagnement d’associations culturelles : aide au développement, assistance technique, stratégie de pérennisation des activités et des emplois. Plus de 20 associations accompagnées en 2002-2003 et 2004.

– 2002 : Lancement des ateliers Culture & Proximité, formation continue pour les acteurs du développement culturel local. Déménagement dans de nouveaux locaux.

– 2001-2002 : Mise en oeuvre d’un dispositif d’aide à la pérennisation des emplois-jeunes sur 15 associations culturelles française avec la Caisse des Dépôts et Consignations et France Active.

– 1997 : Développement de l’activité de bureau d’études pour des collectivités territoriales, des services d’Etat et des réseaux associatifs.

– 1996-2000 : Lancement et développement des éditions Culture & Proximité consacrées aux expériences et projets culturels dans le développement local. Publication de 10 numéros de La lettre Culture & Proximité et de cinq hors-série dont Action culturelle dans les quartiers et Action culturelle dans la ville.

– 1993-1995 : Accompagnement à la mise en oeuvre du Programme cafés-musiques, dispositif de soutien du ministère de la Culture en faveur des lieux musicaux de proximité.

– 1994 : Déménagement des locaux dans le treizième arrondissement de Paris.

– 1988-1993 : Opale est résidente dans une friche urbaine à Ris-Orangis (Essonne) : le Centre Autonome d’Expérimentation Sociale (CAES). Elle y met notamment en place un dispositif expérimental d’accompagnement pour favoriser le développement sur la friche de “services de proximité” à caractère culturel.

Références
Principaux travaux d’Opale depuis 1990